 
	- Sous la surface paisible du Léman, des substances chimiques inquiètent les députés vaudois. © Radio Chablais
La pollution du Léman s’invite à nouveau dans les débats politiques. Une députée vaudoise veut davantage de contrôle, et que les entreprises à risque passent à la caisse.
Le Léman refait surface dans le débat politique vaudois. Après la découverte il y a un mois d’une pollution au 1,2,4-triazole — une substance chimique principalement issue du site Syngenta à Monthey — la députée Élodie Lopez tire la sonnette d’alarme.
La Veveysanne a déposé une interpellation et une motion au Grand Conseil pour réclamer des contrôles indépendants des rejets industriels. Elle demande également la création d’un fonds financé par les entreprises à risque. Deux démarches distinctes mais complémentaires, que résume Elodie Lopez :
La députée de la Riviera n’est pas la seule à s’en préoccuper : d’autres députés se sont également saisis du dossier :
Le Conseil d’État dispose de trois mois pour répondre à l’interpellation. La motion, elle, sera traitée dans un second temps par le Parlement vaudois.
/JGA
 
				


 
                         
                        










































