
- image d'illustration
Le rapport annuel confirme cette tendance. L’an passé, les niveaux des particules fines et de dioxyde d’azote ont rarement dépassé les valeurs limites journalières.
Quant à l’ozone, les dépassements ont été mineurs. La météorologie et la diminution du trafic routier, en raison des restrictions liées au Covid-19, ont concouru à ces résultats. Les autorités indiquent toutefois que l’apport d’azote dans l’environnement, provenant principalement de l’ammoniac dans l’air, requiert une surveillance particulière.