
Les militants pour le climat, qui se sont livrés à une partie de tennis sauvage chez Crédit Suisse en 2018, s’accrochent. Ils s’opposent à leur condamnation en appel du 24 septembre par le Tribunal cantonal vaudois.
Contrairement au juge de première instance, la Cour d’appel a estimé que les activistes n’avaient pas agi en état de nécessité, une disposition du Code pénal qui justifie une action illégale sous certaines conditions.
Un recours auprès du Tribunal fédéral a été déposé.