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Les autorités du canton ont publié ce jeudi les résultats d’une étude menée par l’Institut BAK Economics.
Il en ressort que certains secteurs résistent bien à la crise, comme l’industrie chimique et pharmaceutique. En revanche, les risques sont plus élevés dans le domaine de l’hôtellerie et de la restauration.
L’analyse montre également que certaines destinations touristiques sont plus affectées que d’autres. C’est le cas, par exemple, des Portes du Soleil.
Elle évalue aussi les pertes liées à l’annulation de nombreuses manifestations culturelles et sportives, dont l’impact économique est estimé à 32 millions de francs pour 2019. Et les conséquences de la crise sur les finances cantonales se chiffrent à un minimum de 160 millions.
L’étude se termine par des recommandations faites au Gouvernement, justifiant notamment une intervention de l’Etat en faveur de la relance économique.