
C’est la crainte exprimée aujourd’hui à Lausanne par la Coraasp, association faîtière romande d’action en santé psychique. Elle a formulé des recommandations à l’attention des autorités politiques fédérales, cantonales et communales.
Parmi elles : la préservation voire le renforcement des prestations de l’AI et l’étude de la possibilité d’introduire un « revenu pour contribution sociale ». L’objectif : renforcer la cohésion sociale et le dispositif d’insertion professionnelle.