L'examen du deuxième téléphone portable du chauffeur du car belge accidenté dans un tunnel autoroutier à Sierre le 13 mars 2012 n'a rien révélé. Cette analyse a été effectuée par le ministère public valaisan suite à la requête de parents de victimes.
L’appareil était resté au domicile du chauffeur. L'espoir d'y trouver quelque chose était assez mince, a indiqué aujourd’hui le procureur valaisan en charge de l'affaire Olivier Elsig.
Après avoir pris connaissance de ce rapport, les parties auront un délai pour requérir d'éventuels compléments. Sauf nouvelles requêtes, le procureur procédera alors au classement du dossier.